On peut classer les micro-organismes en fonction de leur caractère utile ou nuisible.
-Les probiotiques : selon la définition de l’OMS, des « micro-organismes vivants qui, lorsqu'ils sont ingérés en quantité suffisante, exercent des effets positifs sur la santé, au-delà des effets nutritionnels traditionnels ». On étend de plus en plus cette définition à tous les micro organismes utile à l’Homme dans divers process technologiques : brassage de la bière, synthèse de médicaments, dépollution…
-Les non-pathogènes : ils ne nous rendent pas malades, mais on ne leur a pas découvert d’aptitudes technologiques.
-Les pathogènes : ils ont des effets néfastes sur la santé, par le biais de 4 modes d’actions détaillés çi dessous.
-Les probiotiques : selon la définition de l’OMS, des « micro-organismes vivants qui, lorsqu'ils sont ingérés en quantité suffisante, exercent des effets positifs sur la santé, au-delà des effets nutritionnels traditionnels ». On étend de plus en plus cette définition à tous les micro organismes utile à l’Homme dans divers process technologiques : brassage de la bière, synthèse de médicaments, dépollution…
-Les non-pathogènes : ils ne nous rendent pas malades, mais on ne leur a pas découvert d’aptitudes technologiques.
-Les pathogènes : ils ont des effets néfastes sur la santé, par le biais de 4 modes d’actions détaillés çi dessous.
L’infection est due à la pénétration puis prolifération du microorganisme dans le corps humain (exemple de la grippe, de la leptospirose). Le développement ou non de la maladie dépend de facteurs individuels liés à l’état immunitaire. Une personne fatiguée, en convalescence ou porteuse du HIV, donc avec un système immunitaire défaillant, est facilement candidate à développer une infection. (Personnes vulnérables : YOPI : Young, Old, Pregnant, Immunodeficient soit jeunes, vieux, enceintes, immunodéprimés).
La pénétration dans l’organisme de l’agent infectieux entraine une activation du système immunitaire qui a alors pour seul objectif de se débarrasser de l’intrus en développant des anticorps.
La vaccination permet de préparer le système immunitaire et ainsi d’éliminer l’intrus avant sa prolifération. Cependant peu de vaccin existent en regard du nombre d’agents pathogènes.
D’autre part leur champ d’action est très variable : pour certain l’immunité est définitive (exemple de l’hépatite B) pour d’autre un rappel de vaccination est obligatoire à fréquence déterminée (comme la leptospirose tous les 2 ans).
La pénétration dans l’organisme de l’agent infectieux entraine une activation du système immunitaire qui a alors pour seul objectif de se débarrasser de l’intrus en développant des anticorps.
La vaccination permet de préparer le système immunitaire et ainsi d’éliminer l’intrus avant sa prolifération. Cependant peu de vaccin existent en regard du nombre d’agents pathogènes.
D’autre part leur champ d’action est très variable : pour certain l’immunité est définitive (exemple de l’hépatite B) pour d’autre un rappel de vaccination est obligatoire à fréquence déterminée (comme la leptospirose tous les 2 ans).
L’intoxication est dûe à l’action de substances libérées par les microorganismes, les toxines. Il existe deux catégories de toxines :
- les exotoxines, libérées lors du cycle de vie normal.
- les endotoxines, libérées lors de la division cellulaire ou la mort de la cellule.
En situation professionnelle il peut s’agir de mycotoxines provoquant des troubles digestifs, cutanés ou respiratoires. (Ex des Aflatoxines)
Il existe également des endotoxines qui sont des composants de la paroi de certaines bactéries Gram -. Elles sont libérées lors de la division cellulaire ou à la mort du microorganisme.
- les exotoxines, libérées lors du cycle de vie normal.
- les endotoxines, libérées lors de la division cellulaire ou la mort de la cellule.
En situation professionnelle il peut s’agir de mycotoxines provoquant des troubles digestifs, cutanés ou respiratoires. (Ex des Aflatoxines)
Il existe également des endotoxines qui sont des composants de la paroi de certaines bactéries Gram -. Elles sont libérées lors de la division cellulaire ou à la mort du microorganisme.
C’est une réaction exagérée du système immunitaire due à la présence d’élément allergène produit par les agents biologiques. De très nombreuses moisissures sont impliquées dans ces phénomènes d'hypersensibilité. Sauf peut-être en agriculture, ces risques sont moins bien connus que les risques infectieux. Les effets de ces risques immunoallergiques vont de la simple irritation nasale, la rhinite, ou un asthme, aux difficultés respiratoires plus ou moins graves avec l'atteinte bronchique obstructive. La pneumopathie d'hypersensibilité ou alvéolite allergique extrinsèque peut, elle aussi, se compliquer d'insuffisance respiratoire quand l'exposition professionnelle ne peut être évitée.
Certaines infections quand elles deviennent chroniques peuvent provoquer des cancers. Ce sont essentiellement des virus qui sont responsables ce type de pathologie. Pour certain, leur génome intègre le génome de la cellule hôte qui se trouve alors perturbée et développe des tumeurs (Ex des virus hépatiques qui peuvent provoquer des cancers du foie). Certaines aflatoxines, toxines libérées par des champignons, provoquent directement le développement de certaines tumeurs.
Bien sûr, un pathogène peut combiner plusieurs modes d’action, tel Staphylococcus aureus, capable d’infection et produisant des toxines
Bien sûr, un pathogène peut combiner plusieurs modes d’action, tel Staphylococcus aureus, capable d’infection et produisant des toxines