L’objectif de cette étape est d’établir un lien entre le niveau d’exposition des microorganismes et la probabilité d’occurrence de développer une pathologie.
Il est important de distinguer les germes infectieux des germes dont le caractère toxique est lié à la production d'une toxine dans l'environnement. Dans ce cas, en fonction des propriétés de cette toxine, il est parfois possible de définir un seuil d'effet. Par exemple, Buchanan et al (2000) indique une concentration minimale de 105 CFU Staphylococcus aureus par gramme d'aliments pour que la quantité de toxine produite et présente dans l'aliment puisse induire un effet délétère. Le DECOS (Dutch Expert Committee on Occupational Standards) a proposé un valeur limite de 50 EU/m3 pour les endotoxines (IRAS, 2001).
Concernant les germes infectieux, les relations dose-effet ont été pendant longtemps décrites par des valeurs ponctuelles comme :
- la dose minimale infectante (DMI), nombre minimal de germes administrés3 pour induire une infection :
- la dose provoquant une infection pour 50% de la population (DI50),
- la dose provoquant 50% de mortalité (LD50) (Buchanan et al, 2000).
Plus récemment, des modèles ont été développés pour essayer de définir l'ensemble de la courbe relation dose-effet. Le plus souvent, l'effet pris en compte semble être l'apparition d'une infection.
Pour plus d'informations sur la mesure des relations doses-effets se reporter à l'Annexe : Mesures Biologiques
Il est important de distinguer les germes infectieux des germes dont le caractère toxique est lié à la production d'une toxine dans l'environnement. Dans ce cas, en fonction des propriétés de cette toxine, il est parfois possible de définir un seuil d'effet. Par exemple, Buchanan et al (2000) indique une concentration minimale de 105 CFU Staphylococcus aureus par gramme d'aliments pour que la quantité de toxine produite et présente dans l'aliment puisse induire un effet délétère. Le DECOS (Dutch Expert Committee on Occupational Standards) a proposé un valeur limite de 50 EU/m3 pour les endotoxines (IRAS, 2001).
Concernant les germes infectieux, les relations dose-effet ont été pendant longtemps décrites par des valeurs ponctuelles comme :
- la dose minimale infectante (DMI), nombre minimal de germes administrés3 pour induire une infection :
- la dose provoquant une infection pour 50% de la population (DI50),
- la dose provoquant 50% de mortalité (LD50) (Buchanan et al, 2000).
Plus récemment, des modèles ont été développés pour essayer de définir l'ensemble de la courbe relation dose-effet. Le plus souvent, l'effet pris en compte semble être l'apparition d'une infection.
Pour plus d'informations sur la mesure des relations doses-effets se reporter à l'Annexe : Mesures Biologiques