Source principale : (Amiard, 2011)
Le principe d'optimisation ou « principe ALARA » (« As low as reasonably achievable ») est une démarche pragmatique pour pouvoir agir de façon responsable, consensuelle et équitable dans un contexte d'incertitude face au risque. Cette démarche suppose que l'on mette en balance les ressources de protection d'un côté, le niveau de protection de l'autre, pour aboutir à la meilleure protection possible, étant donné les conditions économiques et sociales.
Au niveau local, un exemple de mise en œuvre du principe de précaution est l'interdiction, par un préfet, de la pêche et de la commercialisation de coquillages suspectés d’être contaminés par des biotoxines. (exemples d’arrêtés préfectoraux - http://www.rade-brest.fr/VIPRR91/interligo.Web.Front/front.aspx?PubliId=1995&popup=1 ).Au niveau national, Un Plan National d’Action interministériel (Ministères en charge de l’écologie, de la santé et de l’agriculture) sur les PCB a été officiellement lancé le 6 février 2008 et s’articule autour des axes suivants :
- Intensifier la réduction des rejets de PCB
- Améliorer les connaissances scientifiques sur le devenir des PCB dans les milieux aquatiques et gérer cette pollution
- Renforcer les contrôles sur les poissons destinés à la consommation et adopter les mesures de gestion des risques appropriées
- Améliorer la connaissance du risque sanitaire et sa prévention
- Accompagner les pêcheurs professionnels et amateurs impactés par les mesures de gestion des risques
- Evaluer et rendre compte des progrès du plan
Pour en savoir plus se reporter au Plan National d’Action sur les PCB (2008), http://www.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/plan_PCB.pdf
Autant l’interdiction du TBT et des PCB est effective et la toxicité reconnue, autant le problème d’utilisation et de seuil de toxicité du bis-phénol A n’est pas encore résolu. Une expertise relative aux effets sanitaires du bis-phenol A a été menée par un comité de spécialistes et reportée dans un rapport de l’ANSES en septembre 2011.
Le principe d'optimisation ou « principe ALARA » (« As low as reasonably achievable ») est une démarche pragmatique pour pouvoir agir de façon responsable, consensuelle et équitable dans un contexte d'incertitude face au risque. Cette démarche suppose que l'on mette en balance les ressources de protection d'un côté, le niveau de protection de l'autre, pour aboutir à la meilleure protection possible, étant donné les conditions économiques et sociales.
Au niveau local, un exemple de mise en œuvre du principe de précaution est l'interdiction, par un préfet, de la pêche et de la commercialisation de coquillages suspectés d’être contaminés par des biotoxines. (exemples d’arrêtés préfectoraux - http://www.rade-brest.fr/VIPRR91/interligo.Web.Front/front.aspx?PubliId=1995&popup=1 ).Au niveau national, Un Plan National d’Action interministériel (Ministères en charge de l’écologie, de la santé et de l’agriculture) sur les PCB a été officiellement lancé le 6 février 2008 et s’articule autour des axes suivants :
- Intensifier la réduction des rejets de PCB
- Améliorer les connaissances scientifiques sur le devenir des PCB dans les milieux aquatiques et gérer cette pollution
- Renforcer les contrôles sur les poissons destinés à la consommation et adopter les mesures de gestion des risques appropriées
- Améliorer la connaissance du risque sanitaire et sa prévention
- Accompagner les pêcheurs professionnels et amateurs impactés par les mesures de gestion des risques
- Evaluer et rendre compte des progrès du plan
Pour en savoir plus se reporter au Plan National d’Action sur les PCB (2008), http://www.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/plan_PCB.pdf
Autant l’interdiction du TBT et des PCB est effective et la toxicité reconnue, autant le problème d’utilisation et de seuil de toxicité du bis-phénol A n’est pas encore résolu. Une expertise relative aux effets sanitaires du bis-phenol A a été menée par un comité de spécialistes et reportée dans un rapport de l’ANSES en septembre 2011.