Contamination généralisée des océans au bisphénol A
Source : Natural News, S. L. Baker, 13 avril 2010
Lors de la 239ème réunion nationale de l'American Chemical Society, Katsuhiko Saido, Docteur de l'université Nihon, à Chiba au Japon, et ses collègues, ont annoncé que la contamination généralisée des océans au bisphénol A résultait :
a) des détritus de plastique dur jetés à la mer (environ 150.000 tonnes par le Japon seul chaque année) qui subiraient une biodégradation sous l’action de la lumière et aux températures communément rencontrées dans les océans en relâchant du bisphénol A dans l'environnement.
b) de la peinture de plastique époxydique utilisée pour assurer l’étanchéité des coques de navires. Cette dernière contamination serait liée à l'instabilité de l'époxy. Des études récentes ont ainsi montré que les mollusques, crustacés et amphibiens pourraient être affectés par le bisphénol A, même à faible concentration.
L’équipe de recherche du Dr Saido a analysé le sable et l'eau de mer de plus de 200 sites dans 20 pays, notamment de zones d’Asie du Sud et d’Amérique du Nord. Chaque site vérifié contenait des quantités « importantes » de bisphénol A, allant de 0,01 à 50 parties par million.
Source : Natural News, S. L. Baker, 13 avril 2010
Lors de la 239ème réunion nationale de l'American Chemical Society, Katsuhiko Saido, Docteur de l'université Nihon, à Chiba au Japon, et ses collègues, ont annoncé que la contamination généralisée des océans au bisphénol A résultait :
a) des détritus de plastique dur jetés à la mer (environ 150.000 tonnes par le Japon seul chaque année) qui subiraient une biodégradation sous l’action de la lumière et aux températures communément rencontrées dans les océans en relâchant du bisphénol A dans l'environnement.
b) de la peinture de plastique époxydique utilisée pour assurer l’étanchéité des coques de navires. Cette dernière contamination serait liée à l'instabilité de l'époxy. Des études récentes ont ainsi montré que les mollusques, crustacés et amphibiens pourraient être affectés par le bisphénol A, même à faible concentration.
L’équipe de recherche du Dr Saido a analysé le sable et l'eau de mer de plus de 200 sites dans 20 pays, notamment de zones d’Asie du Sud et d’Amérique du Nord. Chaque site vérifié contenait des quantités « importantes » de bisphénol A, allant de 0,01 à 50 parties par million.