1. - La station balnéaire durable en 2050 - Introduction
2.1.1 - Évolution morphologique du trait de côte
2.1.2 - La problématique de l’érosion des côtes et de la submersion marine
2.1.3 - Prospective exploratoire des possibles entre environnement et aménagement des côtes
2.2.1 - La station balnéaire : un pôle économique en 2050
2.2.2 - Quelles pratiques de la plage demain ?
2.2.3 - Quelles pratiques nautiques demain ?
2.3.1 - Indicateurs de développement durable sur la mesure de la biodiversité et ses dégradations
2.3.2 - Comment identifier les variabilités et les tendances d'évolution du trait de côte
2.3.3 - Le risque tsunami en Méditerranée occidentale : exposition et solutions préventives (France)
2.3.4 - La commune balnéaire et l'évaluation de sa fréquentation : le défi des données
3.1 - Quelles politiques publiques pour s'adapter aux changements ?
3.2 - Les leviers sociétaux de l'adaptation aux changements climatiques
3.3 - Les solutions du Génie Civil pour les équipements littoraux de demain
4.1 Etude de cas : Évaluer la perception des risques côtiers
4.3 Etude de cas : Préserver la mixité sociale dans une station balnéaire
La station balnéaire en 2050 constitue un objet d’étude très riche qui nécessite une approche globale, ou systémique. Le contexte climatique et la remontée globale du niveau de la mer pèsent sur les écosystèmes et engendreront certaines modifications des paysages, mais ce sont les sociétés littorales qui impulseront le plus de changements dans leurs rapports à la nature et aux lieux, à leurs pratiques nautiques ou leur simple perception de la plage et de la mer. Les économies touristiques littorales s’adapteront et accompagneront ses nouvelles formes d’habiter. L’impact de l’érosion côtière sur une plage aura des répercussions sur la station balnéaire et son aménagement, son attrait touristique. Les réponses apportées auront à leur tour un impact fort ou faible sur la gestion de cette érosion et les moyens mis en œuvre ou non de la réduire. On le comprend la station balnéaire est bien un système et avec cette approche la pluridisciplinarité s’impose. Une vingtaine de spécialistes, des sciences humaines et environnementales, des professionnels de l’aménagement, des élus et acteurs du secteur social et solidaire apportent des regards croisés et complémentaires sur la station balnéaire en 2050. Il ne s’agit pas d’inventer et d’imaginer cette station, mais bien de nous appuyer sur nos connaissances dans une perspective de prospective territoriale, pour présenter les signaux forts actuels qui perdureront et d’éclairer les signaux faibles d’aujourd’hui qui seront peut-être les signaux forts de demain.
Le projet "La station balnéaire durable en 2050" s'appuie sur la communauté scientifique portée par l'Institut Universitaire Mer et Littoral (IUML).
Michel DESSE est Géographe, Professeur des Universités, Institut de Géographie et d'Aménagement Régional à l'Université de Nantes.
Grégory Alexandre ARIBO, doctorant à l'université des Antilles.
Régis BARRAUD, maître de conférences, géographe, Laboratoire MIMMOC à l'université de Poitiers.
Emilio BASTIDAS, maître de conférences à l'université de Nantes.
Brieuc CABIOCH, doctorant, ESPACE (UMR 7300) à Aix-Marseille Université.
Simon CHARRIER, cartographe, Institut de Géographie et d'Aménagement Régional à l'université de Nantes.
Axel CREACH, maître de conférences, Laboratoire de géographie physique, environnements quaternaires et actuels. UMR 8591 à Sorbonne Université. Paris IV.
Michel DESSE, professeur des universités, LETG UMR 6554 à l'université de Nantes.
René-Paul DESSE, professeur émérite d'urbanisme, Laboratoire de Géoarchitecture à l'université de Bretagne Occidentale.
Antoine DELMAS, chargé d'études à l'agence d'urbanisme de la région de Saint-Nazaire.
Pascal DUMAS, maître de conférences HDR, Unité Mixte de Recherche ESPACE-DEV (UMR 228) à l'université de la Nouvelle Calédonie.
Maryse GANNE, directrice de projets en gestion intégrée mer et littoral au CEREMA.
Christophe GUIBERT, sociologue, maître de conférences HDR, Espaces et Sociétés (UMR CNRS 6590) à l'université d'Angers.
Nicolas HUTEN, maître de conférences en droit public, Laboratoire Droit et Changement Social - UMR CNRS 6297 à l'université de Nantes.
Frédéric LE BLAY, philosophe des sciences, maître de conférences HDR à l'université de Nantes.
Frédéric LEONE, géographe des risques, professeur des Universités, Laboratoire LAGAM à l'université Paul-Valéry Montpellier 3.
Jean MAGNE, ingénieur gestion et protection des zones littorales - Pôle Aménagement, Environnement et Ressources Techniques - Communauté de Communes Océan-Marais de Monts.
François MANDIN, maître de conférences HDR, EA 1165 Centre de Droit Maritime et Océanique à l'université de Nantes.
Oscar NAVARRO, maître de conférences HDR en Psychologie Sociale, Laboratoire de Psychologie des Pays de la Loire (LPPL) à l'université de Nantes.
Matthieu PEROCHE, géographe des risques, maître de conférences, Laboratoire LAGAM à l'université Paul-Valéry Montpellier 3.
Sylvain PIOCH, maître de conférences HDR, Laboratoire LAGAM à l'université Paul Valéry Montpellier 3.
Tony REY, professeur des universités, Laboratoire LAGAM à l'université Paul-Valéry Montpellier.
Samuel ROBERT, Directeur de recherche au CNRS, Directeur-adjoint d'ESPACE (UMR 7300) à Aix-Marseille Université.
Pascal SAFFACHE, Professeur des Universités à Université des Antilles.
Martin SANCHEZ, maître de conférences HDR, UMR_C 6112 Laboratoire de Planétologie et Géodynamique à l'université de Nantes.
Franck SCHOEFS, professeur des Universités, Institut de Recherche en Génie Civil et Mécanique (GeM) - UMR CNRS 6183 à l'université de Nantes.
Didier TOQUE, président chez BATHÔ.
Jean-Christophe THOMAS, maître de conférences; Institut de Recherche en Génie Civil et Mécanique (GeM) - UMR CNRS 6183 à l'université de Nantes.
Marie-Laure TREMELO, ingénieur CNRS / géographe - cartographe, ESPACE (UMR 7300) à Aix-Marseille Université.
UN e-SEA : https://unesea.univ-nantes.fr/.